Caïpirinha, football et fiesta~ [Finish aflugubul]

Brésil mesure environ 1m72, elle a des cheveux bruns dont deux ahoges,

antennes même sur le haut de sa p'tite tête, et des yeux marrons. Elle

porte quelques fois un béret noir (bien qu'ce soit rare) ou un bandana, en

plus de nombreux bracelets brésiliens, elle se balade souvent en jean et

un top avec un col relevé cachant son cou, en plus de bottes marrons.

Ora' se balade aussi avec un paquet de cartes et des mandarines (oui, des

mandarines) dans un sac en bandoulière. Dans de rares occasions, il se

peut qu'on la voit en robe, mais comme je l'ai dit, c'est rare. Aussi, il lui

arrive d'avoir son ballon de foot sur elle, comme ça, elle est toujours

prête à faire une partie avec ses amis et/ou sa famille.

Brésil est très accrochée à sa religion, et si quelqu'un ose en dire du mal,

elle mettra sa mort sur le dos des autres.

Brésil se lance rarement dans des histoires sans réfléchir. Elle aime bien

cuisiner pour ses amis et faire des parties de foot avec ses frères. Brésil

aime aussi voler de temps en temps quelques trucs aux autres pour voir

ce qu'elle peut en tirer (ouais, vive l'argent). Elle peut souvent se

disputer avec Amérique pour plusieurs choses idiotes (que je ne citerais

pas car la flemme m'a mise à terre) mais aussi carrément faire la fête

avec ce dernier, c'est beau la vie, non?...Bref. Brésil va souvent aider son

oncle espagnol pour les récoltes mais frappera Portugal s'il traîne dans les

parages, en fait elle va même le chercher pour le frapper s'il n'est pas là,

donc ça ne change rien.... Que dire de plus à part qu'elle transporte

souvent n'importe quoi, même ses mandarines (très bon projectiles à

envoyer sur le crâne de ses cousins) avec elle pour "s'occuper" de ceux qui

l'énervent...Entre autres son tuteur, ou encore Argentine tiens...

D'ailleurs elle est assez bonne en maniements des armes, en ayant plein

y compris un sabre de marine brésilien, et un Pistola 9 M973, bien

qu'elle puisse utiliser une matraque. Bref, les armes et Brésil, ça fait

qu'un. Puis, elle aime mettre le souk chez ceux qu'elle aime, ou pas,

et sera prête à leurs faire de bonnes blagues et tout et tout. Aussi Brésil

est une grande créatrice de bracelets brésiliens qu'elle aime offrir à ses

amis.

Ce que j'aime : La Caïpirinha (boisson nationale brésilienne), le poker,

ses frères, ses cousins, ses armes, les mandariiiiiiiiines, lire, dessiner des

tenues, pratiquer la religion, faire la fête et jouer au foot.

Ce que je n'aime pas : Portugal, France, ses problèmes financiers (mais

ça c'est logique), Portugal, Portugal, Portugal et..........Ai-je dit Portugal?

En bref : Ora c'est juste une fille bizarre: joyeuse mais sérieuse.

Vous savez, Brésil ne s’est pas toujours appelée comme ça.

En effet, lorsque Portugal l’a découvert pour la première fois, il l’a

baptisée Terra da Vera Cruz, traduit par «Terre de la Vraie Croix». Ce

n’est que quand son tuteur découvrit le brésillet, un bois qui fournit une

couleur rouge, que la petite fut renommée Brésil.

Finalement, le temps passa, et en 1530, le roi de Portugal a décidé de

coloniser Brésil, pour récupérer de la canne à sucre, de l’or et du diamant

par l’esclavage. Puis là, France arriva, intéressé fortement par toutes les

richesses qui se trouvaient sous la patte du portugais. Et il s’installa avec

une colonie sur la baie de Rio de Janeiro, cinq ans après, celle-ci est

détruite par le propriétaire des lieux, encore Portugal. Mais ce français

n’est pas le seul à vouloir s’approprier Brésil, puisque viennent

désormais le British aux gros sourcils et le Hollandais. Enfin, après cela,

l’esclavage chez notre mademoiselle prit fin, et les jésuites furent

expulsés.

Mais n’oublions pas France, qui est revenu avec le très connu Napoléon.

Celui-ci contraignit la monarchie portugaise à s’installer chez Ora’. Mais

quelques temps après, à nouveau, Brésil déclara son indépendance aux

côtés de son futur empereur Pierre 1er –appelé tout d’abord Dom Pedro-.

Grâce au fils de celui-ci, la brésilienne commença à se créer un réseau

ferroviaire.

Je sais que vous aimez lire, et bien le roman ne s’arrête pas là!

Dans les années 30, notre Sabadjo subit la fameuse crise économique.

Pendant celle-ci est élu le nouveau patron, Getulio Vargas, qui entreprit

le droit de votes des femmes et pleins d’autres choses. Mais écrasé par la

tentation autoritaire, il instaure l’Estado Novo, interdit les partis

politiques, et soumit à une étroite censure la presse et la correspondance.

Puis vient la Seconde Guerre Mondiale, où Brésil se range bien

évidemment du côté des alliés, avec ses deux frères Canada et Amérique.

Elle aida économiquement les alliés, grâce à une expansion industrielle

qui augmenta la production de caoutchouc et d’autres matériels de

guerre.

Après cette Guerre, Oralou a une longue période instable dans la

politique, causée par les coups d’état militaires. 11 ans après, elle obtint

une nouvelle capitale, Brasilia.

En 1992, Fernando Collor de Mello, propriétaire de la principale chaîne

de télévision brésilienne, est destitué pour corruption de son successeur,

et remplacé par Itamar Franco puis par Fernando Henrique Cardoso.

Malgré qu’elle soit confrontée au poids de sa dette extérieur et aux

inégalités sociales, elle prouve sa maturité politique par le vote

en faveur du système républicain au référendum de 1993. En 2002

arrive le 1er président socialiste de Brésil, Lula da Silva, qui devient la

figure emblématique de la gauche syndicale brésilienne.