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 Notice : Comment apprivoiser un Allemand [En cours]

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Notice : Comment apprivoiser un Allemand [En cours] Empty
MessageSujet: Notice : Comment apprivoiser un Allemand [En cours]   Notice : Comment apprivoiser un Allemand [En cours] EmptyDim 15 Nov - 14:22












Bundesrepublik Deutschland

Allemagne . Ludwig Beilschmidt . Masculin . Europe
Prusse . Berlin Est . Berlin Ouest . Japon . Italie du Nord . Autriche . Espagne
A trouvé le forum sur internet . Le trouve peut être pas assez codé  . Mais apprécie l'accueil chaleureux


. À quoi ressemble l'allemand .

Stéréotypé.
Comme tous ses camarades nations, Ludwig Beilschmidt était le stéréotype même de sa population. Tenez, allez y. Demandez à quelqu'un dans la rue. Voyez cette personne là bas ? Approchez vous d'elle. Maintenant, posez lui la question : "Pourriez vous me dire à quoi ressemble un allemand ?" Alors la personne vous répondra...

"L'allemand est blond". Et Ludwig était blond. Ses cheveux avaient la teinte du blé, ni assez clairs pour être définis comme platines, ni assez foncés pour qu'on puisse hésiter à les dire châtains. Chaque matin, la nation se levait avec une coiffure relâchée, ses mèches du devant assez longue pour venir lui chatouiller les sourcils, mais il s'appliquait toujours énormément de temps après son réveil afin de créer la parfaite coiffure. Avec une peu de gel et un bon peigne, on pouvait faire n'importe quoi. Or, lui choisissait toujours la même coiffure banale et stricte : les cheveux plaqués en arrière, afin que RIEN ne puisse le gêner dans son travail. Puis, on vous dira...

"L'allemand a les yeux bleus". Et Ludwig avait les yeux bleus. Ils étaient la porte vers la lecture de ses émotions. Son visage n'exprimant qu'un léger sourire de rare fois, on ne pouvait définir ce que ressentait Ludwig que part le haut de sa tête. Ses sourcils notamment étaient son meilleur outil pour communiquer. Un sourcil levé ? Soit il jugeait silencieusement, soit il ne comprenait pas quelque chose et attendait une suite. Sourcils froncés ? Clairement, quelque chose l'agaçait, ou bien il perdait patience. Les seuls moments où ils restaient en place, on pouvait deviner que Ludwig était soit épris de tendresse, soit triste. Et pourtant... Cet air de constipé constant sur son visage ne voulait pas dire qu'il ne ressentait ni joie, ni amusement. Ces deux émotions, comme toutes les autres d'ailleurs, pouvaient se refléter, d'une étrange façon, dans ses pupilles couleur ciel. Mais la réponse de votre interlocuteur n'est pas terminé...

"L'allemand a un physique fort". Et Ludwig était musclé. Il n'était pas si grand que ça, mais pas petit non plus : 1 m 83, une moyenne tout à fait respectable. Le plus amusant était de voir sa masse musculaire faire de lui une sorte de... Carré. Comme ses épaules, comme son dos, comme ses jambes. Tout était taillé pour la course, le combat : il s'entraînait tous les jours à répéter les mêmes exercices, avec pour mots d'ordre "un esprit sain dans un corps sain".

Mais si cette personne à qui vous vous êtes adressé est bavarde, alors elle vous dira surement...

. Comment se comporte l'allemand .

"L'allemand aime le travail". Faux. L'allemand aime juste le travail bien fait. Si vous voulez frôler la perfection, passez à côté d'un allemand. Car ceux ci sont surement les êtres les plus perfectionnistes qu'on ai jamais vu. Et Ludwig était perfectionniste. En effet, Ludwig pouvait passer des heures à un bureau à lire les conditions d'utilisation d'un site internet idiot avant de pouvoir cocher la case "accepter" et pouvoir continuer, là où tout le monde aurait déjà fini depuis quelques heures. Cela dit, ça ne voulait pas dire que Ludwig aimait travaillé. Il voyait ceci comme "quelque chose à faire, et sérieusement". Il n'aimait pas, en revanche, ne pas rendre son travail à temps, mais pire encore était de rendre un travail de mauvaise qualité. Et pour fournir un bon rendu, il fallait entre en forme. Aussi, on aurait pu croire que Ludwig Beilschmidt n'était qu'un bosseur qui supprimait ses temps libres afin de se rouler dans des papiers chiants à mourir avec bonheur. Que l'on se détrompe : il prenait des vacances régulièrement, appréciant visiter de nombreux endroits pour assouvir sa curiosité, il savait se coucher à des heures respectable, ou bien même sortir jusqu'à pas d'heure pour aller boire un coup et se torcher après s'être assuré d'avoir de l'avance dans ses dossiers.

"Il y a beaucoup de camp de nudiste en Allemagne, je me trompe ?" Demande votre interlocuteur. En effet, cette personne a raison. D'ailleurs, Ludwig Beilschmidt n'a aucun problème avec la nudité. Si la décence publique l'autorisait, surement se baladerait-il à poil en été. Seulement, voilà : ce n'est pas considéré comme sérieux, alors il ne l'a jamais fait autre part que chez lui. Tout comme la majorité des allemands, Ludwig Beilschmidt se moquait des conversations et des blagues un peu osées, en revanche, il était tout à fait amusant de voir à quel point il était embarrassé par le contact physique. Les amis proches du blond pouvaient s'approcher de lui sans aucun problème : il les accueillait même à bras ouvert, et ceci était valable pour tout ceux qui avait passé un certain stade de son amitié. En revanche, dès qu'un autre se collait à lui, Ludwig avait tendance à reculer ou à se débattre, refusant complètement le contact. Il était très facile de faire ses couvrir ses joues de rouge : avec des mots doux ou des invitations quelques peu douteuse, ou avec tous types de calin, tout simplement.

"L'allemand aime les chiens !". Et Ludwig aimait les chiens. C'est simple, il les aimait presque plus que les hommes, ou au moins de manière égale. Là où un être humain devait apprendre à connaître Ludwig avant de s'en faire un ami, un chien lui, avait juste à respirer pour être apprécié de l'allemand. Les chiens étaient d'ailleurs la plus belle manière de le distraire. Un petit "Tu as vu cette vidéo de chien qui joue du piano ?", et un rare sourire s'affichait sur son visage. Et il avait été eu. C'était la technique parfaite pour éviter une réunion avec lui : parler de chien. Il ne s'arrêtait plus. C'était d'ailleurs de ces petites boules de poil que venait toute son assurance. Sans ses chiens, il n'était rien. A force d'avoir à dresser ses fidèles compagnons, Ludwig avait acquit plusieurs qualités, comme plusieurs défauts.

Ludwig était devenu autoritaire. Il avait l'habitude de donner des ordres. "Assis", "couché", silence", mais aussi de donner des autres aux autres hommes comme lui. "Commençons la réunion", "Rend moi ce dossier dans trois jours", "Nettoie ça", "Silence", "Assis", "couché", encore une fois. Parfois même "Fais tes lacets toi même, tu n'as pas quatre ans !". Mais tout comme il avait du mal à résister aux airs de chiens battus de ses chiens, Ludwig avait du mal à résister aux airs de chiens battus de ses amis. Alors parfois cela finissait en "Bon, d'accord, je vais te les faire, tend le pied", ou même "D'accord Autriche, tu peux t'asseoir sur moi."

Ludwig était devenu confiant. C'est bien simple, il était strict, poli, et avait de la retenue. Et c'était surement la seule raison pour laquelle on pensait directement à Gilbert quand on entendait le mot "narcissisme". Car pourtant, on aurait pu penser à Ludwig.
Ludwig s'aimait autant que son frère. Il passait son temps à, silencieusement, juger les autres. "Pleurnichard", "Bruyant", "Faute de goût", "impoli". Puis il se regardait avec toute la satisfaction du monde, avant de se dire : "Je suis beau et intelligent. J'ai beaucoup de chance". Et encore, Ludwig employait le mot chance de manière à être modeste : car il savait parfaitement que tout ce qu'il possédait de bien était le fruit de ses efforts, ainsi que tout ce qu'il possédait de mal. Et pourtant, ce jugement des autres ne l'empêchait pas d'être admiratif. Il était jeune, bien plus jeune que tous ses camarades nations. Il ne savait ni peindre et prendre la vie comme elle vient, il ne savait ni jouer du piano, ni sourire comme tout le monde sourit.

Puis, votre interlocuteur vous regarde. "Je pense qu'au final, l'allemand n'est ni noir, ni blanc. Enfin, au niveau du caractère ! Car je ris toujours de les voir couvert de coup de soleil tellement ils sont pâles !"

Et Ludwig avait un stock de crème solaire pour ses vacances.

. C'est moi, et alors ? .

Ce que j'aime : Les chiens, la rigueur, l'efficacité, le sport, la bière, mes proches, les vacances.

Ce que je n'aime pas : La flemmardise, le retard, le travail bâclé.

En bref : Si tu te plis à mes ordres, tout devrait bien se passer entre nous.
. Il était une fois, une nation .

Pour l'histoire vous êtes libre, si vous la rédigez elle devra faire plus de 15 lignes, si vous faites une chronologie elle devrai être détaillée et il faudra avoir le point de vue du personnage. (Je rappelle qu'il s'agit bien de l'histoire du pays !)

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