Le froid vous envahira tous un jour. Peut-être.

 Commençons. Sa coiffure. Sachez qu’Ulric ne prend pas tellement la peine de se coiffer, tout simplement parce que ses cheveux sont aussi beaux coiffés que décoiffés ! C'est une coupe au carré qui lui arrivent entre les épaules et en dessous du menton. Un peu plus en dessous du menton quand même. Sa frange est plus où moins droite quand il se coiffe. Il aime qu'on le complimente sur ses cheveux. Ulric AIME ses cheveux. Mais passons ce détail non-important. Ses cheveux sont blonds, blond soleil, blond doré. Il sont loin d'être ternes. Au soleil ils sont encore plus brillants. Son nez est fin, presque droit, on ne parvient même pas à distinguer la bosse qui s'y trouve, et bien défini. Parfois est-il un peu rouge, enfin pas rouge comme le nez des gens alcooliques, rouge comme le nez des enfants enrhumés. Car oui, le jeune homme antarctique est facilement enrhumé. Dans ces moment là, mieux  vaut ne pas trop lui parler, il devient très sensible et pleure pour un rien. Une vraie femme enceinte.

Ses yeux maintenant. Ils sont légèrement en amande, et bleus. Bleus d’un bleu très profond, on dirait presque que c'est le bleu de l'océan qui l'entoure ! Mais n’exagérons rien. Ses cils sont un peu plus foncés que ses cheveux, mais très peu. Ils sont longs. Ses sourcils sont fins et droits. Ils sont quasiment constamment froncés. Il s’inquiète facilement.  Ses lèvres sont généralement gercées, bien qu’il mette parfois un peu de baume à lèvre, et sont plutôt pulpeuses. Elles sont également bien définies.

Sa peau est pâle, du fait qu’il n’aime pas trop pointer le bout de son nez dehors. Il est très sensible à la température. Il ne supporte pas quand la chaleur est trop élevée. Et pour cause, ça lui donne un insupportable mal de tête très difficile à calmer. Il attrape souvent des engelures, il déteste naturellement ça mais surtout ça l'énerve au plus haut point. Quand il fait extrêmement froid, il se met à trembler et n’aime pas du tout ça. Il mange de manière équilibrée, et n’a aucun problème avec son corps.

De ce fait il est mince sans pour autant ressembler à un biafrais, ses bras sont fins, ses poignets également, et ses mains sont froides mais douces. Quand il n'a pas d'engelures. Ses doigts sont fins, et plutôt longs. Quand il n'a pas d'engelures. Ses jambes ne sont pas très musclées, droites, et il chausse du 39. Il est habituellement vêtu d’un col roulé noir, les manches remontées jusques aux coudes, un pantalon -en cuir- noir, et de simples baskets bleues. Il possède deux vestes. Une blanche, l'intérieur étant en fourrure, et une autre, rouge, l'intérieur étant en fourrure aussi.  

Calme. C’est son trait de caractère principal. Il n’aime pas s’énerver, trouvant  que ça n’a aucune utilité. Il ne faut pas non plus le pousser à bout. Mais bon. Quand il parle, il peu paraître dépressif, mais ce n’est absolument pas le cas. Il peut paraître indifférent, mais en réalité il pose beaucoup de questions.

Sometimes the world seems vast and unknown
Icy and wild as the wind blows
Standing together we're never alone
One world, one family

Il s’accroche facilement aux autres, n’étant pas en manque d’affection mais il aime la présence d’autres personnes. C’est comme si ça le rassurait.

Crystal and silent night fill the skies
Lost in the mist as the snow lies
But there is wonder, a rainbow, yeah
In the light of each other eye

Curieux. Oui, Ulric est très curieux, et aime poser des questions sur tout ce qu’il ne maîtrise pas, ce qui fait quand même beaucoup de choses. Il peut même devenir lourd à force de poser ses questions, qui peuvent vraiment porter sur tout et n’importe quoi.

Come share a dream with me
And you'll be
Breathless with wonder
Beyond an icy chill
Time stand still
One world together

Sensible. Si quelque chose vient à le blesser, fortement décevoir, ou bien vraiment le perturber, il se met à pleurer.

It's just a world away
Beyond the light of day
Antarctica
Where home is family

Il n’a pas beaucoup d’humour. En fait, c’est qu’il ne comprend pas ce qu’est l’humour, et ne comprend donc pas les blagues. Quand il s’y essaie, ce n’est pas, mais pas du tout drôle, et il se sent honteux pendant deux-trois jours.

Together we will thrive
Our dream survive
One world forever

Il aime positiver. Même s’il s’inquiète énormément pour le réchauffement climatique, il tente de relativiser en se disant que ça n’arrivera pas de sitôt.

It's just a world away
Beyond the light of day
Antarctica
Where home is family

Il n’extériorise pas beaucoup ses sentiments, c’est pour ça qu’il paraît calme la plupart du temps. Ça a tendance à parfois lui faire mal à l’intérieur. Il s'énerve rarement.

Antarctica...

Il aime beaucoup les pingouins, les trouvant absolument adorables et mignons. C’est pacifique, c’est mignon, c’est pas trop chiant, en un mot c’est cool. C’est une des rares choses qu’il dit ouvertement. Il en parle vivement, presque joyeusement. Presque.

Ce que j'aime : La glace, Glagla

Ce que je n'aime pas : L’humour, la fonte des glace.

En bref : Calme et froid~.

D’abord, les grecs supposèrent son existence. Et quelques chasseurs de phoques y allèrent au dix-neuvième siècle.
Ce fut la Grande- Bretagne qui revendiqua en premier les droits sur une partie de l’Antarctique en 1908, le territoire antarctique britannique, suivie de la Nouvelle-Zélande en 1923, la Dépendance de Ross, puis la France en 1924 la Terre Adélie, la Norvège en 1929, l’Île Pierre 1er, l’Australie en 1933, le territoire antarctique australien, à nouveau la Norvège en 1939, la Terre de la Reine Maud, le Chili en 1940 , le territoire chilien de l'Antarctique et enfin l’Argentine en 1943, l’Antarctique argentine . Il reste aujourd’hui un seul territoire non revendiqué, la Terre Marie Byrd.
La première personne à y avoir débarqué fut un américain, John Daivis. Il se passa ensuite plusieurs années dédiées à se découverte. On appelle la période de 1895 à 1922, l’âge héroïque de l’exploration en Antarctique. En 1914, un navire britannique, "Endurance", fut prit dans les glaces.
Lors des périodes les plus froides, la mer devient de la glace infranchissable, malgré le fait que la couche soit plus ou moins fine. En 2003, des chercheurs russes ont réussi à aller jusqu’à une trentaine de mètres d’eau dans le lac Vostok la communauté scientifique internationale leur demanda d’arrêter de forer, suite à la signature du traité de l’Antarctique, le 1er décembre 1959. On y constata la diminution de la couche d’ozone, le gaz intercepteur des UV se raréfiant bien trop rapidement, ce qui pourrait malheureusement être une des causes du réchauffement climatique.